L'art se doit d'être ubiquitaire.
A la fois omniprésent et à la fois omnipotent, toujours d'actualité. C'est un devoir qui s'impose de soi, parce que nous sommes finis, pour-la-mort. Parce que notre temps nous est compté. Il y a dans toute cette finitude, une devoir de certitude, un devoir de beauté qui nous transcende. Le 17 décembre 2008. (nuit)
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